《quoi je sers》歌词

[00:00:00] À quoi je sers - Mylène Farmer (玛莲·法莫)

[00:00:00] Written by：Laurent Boutonnat/Mylène Farmer

[00:00:20] Poussière vivante je cherche en vain ma voie lactée

[00:00:28] Dans ma tourmente je n'ai trouvé qu'un mausolée

[00:00:36] Et je divague j'ai peur du vide

[00:00:43] Je tourne des pages mais des pages vides

[00:00:51] Poussière errante je n'ai pas su me diriger

[00:00:59] Chaque heure demande pour qui pour quoi se redresser

[00:01:07] Et je divague j'ai peur du vide

[00:01:14] Pourquoi ces larmes dis à quoi bon vivre

[00:01:23] Mais mon dieu de quoi j'ai l'air

[00:01:26] Je sers à rien du tout

[00:01:31] Et qui peut dire dans cet enfer

[00:01:34] Ce qu'on attend de nous j'avoue

[00:01:39] Ne plus savoir à quoi je sers

[00:01:42] Sans doute à rien du tout

[00:01:47] A présent je peux me taire

[00:01:50] Si tout devient dégout

[00:01:55] Poussière brulante la fièvre a eu raison de moi

[00:02:02] Je ris sans rire je vis je fais n'importe quoi

[00:02:10] Et je divague j'ai peur du vide

[00:02:18] Je tourne des pages mais des pages vides

[00:02:27] Mais mon dieu de quoi j'ai l'air

[00:02:30] Je sers à rien du tout

[00:02:35] Et qui peut dire dans cet enfer

[00:02:38] Ce qu'on attend de nous j'avoue

[00:02:42] Ne plus savoir à quoi je sers

[00:02:46] Sans doute à rien du tout

[00:02:50] A présent je peux me taire

[00:02:53] Si tout devient dégout

[00:03:29] Mais mon dieu de quoi j'ai l'air

[00:03:32] Je sers à rien du tout

[00:03:37] Et qui peut dire dans cet enfer

[00:03:40] Ce qu'on attend de nous j'avoue

[00:03:44] Ne plus savoir à quoi je sers

[00:03:48] Sans doute à rien du tout

[00:03:53] A présent je peux me taire

[00:03:55] Si tout devient dégout

[00:04:00] Mais mon dieu de quoi j'ai l'air

[00:04:03] Je sers à rien du tout

[00:04:08] Et qui peut dire dans cet enfer

[00:04:11] Ce qu'on attend de nous j'avoue

[00:04:15] Ne plus savoir à quoi je sers

[00:04:19] Sans doute à rien du tout

[00:04:23] A présent je peux me taire

[00:04:26] Si tout devient dégout