《New York City Transit》歌词

[00:04:01] Qu'est ce que j'comprends ? j'suis la qu'pour signer l'autographe ?

[00:04:01] Carpette à la télé, et faire le pantin d'vant les photographes

[00:04:01] Dans les dérapages d'auto graves, ma renommée naît à NY

[00:04:01] Dans l'D et s'propage bientôt sur d'un phonographe

[00:04:01] Moi et ma trempe, pas d'Sony ni d'Phonogram

[00:04:01] J'affute mes armes là ou s'vend la coke en kilogrammes

[00:04:01] Tellement j'ai la dalle, j'pyrograve, mes rimes oscillent au grave

[00:04:01] Lave dans mes veines, tous s'rappellent d'moi comme d'un mino brave

[00:04:01] Cul sur les marches 36 et Neptune Avenue, paumes de mains vers l'ciel, priant,

[00:04:01] Hélas le miracle n'est pas venu

[00:04:01] Ainsi coule ma routine, ** et cornflakes

[00:04:01] Des potes s'évaporent d'la surface, dommage, cette vie est complexe

[00:04:01] Alors j'm'évade casque Koss sur les lobes, gloire à la fraude

[00:04:01] J'traverse Brooklyn comme on traverse le globe

[00:04:01] Dans l'Hip Hop j'crois en la puissance de la prod, en la puissance de la prose,

[00:04:01] Et pas qu'on rappe mieux quand on s'touche le zob

[00:04:01] C'est c'que disait petit john, Aujourd'hui il est mort, moi j'm'en sors, putain,

[00:04:01] J'pense à sa femme et ses mômes à fond dans les rues d'East-Ny,

[00:04:01] G-Rap dans l'poste, michtonneuses "Pazza vita e Note"

[00:04:01] P'tit rital dans le ghettos d'la grosse pomme, tout jeune on rêve d'amour

[00:04:01] Et on s'tape qu'des grosses connes

[00:04:01] Acheter les phillies raide au comptoir des drugstores,

[00:04:01] On parle fort mais faut savoir s'tenir

[00:04:01] Quand les merdes rappliquent, ça part fort, c'est la ou j'ai fait mes classes

[00:04:01] Coney Island 36eme rue Nerfs de glace mec.

[00:04:01] Acceptes ou deteste le son, j'en ai rien a foutre de toute façon

[00:04:01] Refrain

[00:04:01] C'est New York City transit, la ou la vibes naît

[00:04:01] Ou l'énergie du rap s'construit,

[00:04:01] Imbrications de phrases complexes et de métaphores,

[00:04:01] A Fort greene : tranches de vie, ici combien l'espoir mange de vies ?

[00:04:01] Entre taf et java, les coups d'fil à ma mère pour voir si ça va,

[00:04:01] j'brûle mon temps dans l'park

[00:04:01] On tape le foot avec les jamaïcains, gratte 2 côtes au barbecue,

[00:04:01] gratte ces premières notes,

[00:04:01] Le dos sur un érable. coup d'buttoir dans un quartier minable,

[00:04:01] J'entraîne mes synapses, apprécie mes laps, de temps d'bonheur formidable,

[00:04:01] brown bag et bière avec Derreck au Keyfood

[00:04:01] Une voiture banalisée, ça regarde mal, qu'est ce qu'ils foutent

[00:04:01] Descend à la 31è p'tain làbas qu'estce qu'ils shootent

[00:04:01] Croise des équipes lourdes, les Jeep s'roulent

[00:04:01] ça parle de "crack et Loot" Eté 87, nuits d'fou

[00:04:01] Scott la Rock perd la vie dans l'Bronx, (Allah rah mou)

[00:04:01] Nous on traîne à Nathans, c' est midi pile ouais

[00:04:01] On entend l'bruit des glocks, et l'chauffeur qui braille : last stop stillwell

[00:04:01] C'est NYC transit, 2 ans et demi d'ma vie ou les ans

[00:04:01] sont des jetons luisants qui s'dépensent vite

[00:04:01] Ma mémoire lie ces rimes éparses, comparses, d'la revanche

[00:04:01] D'un gosse aux 1000 stygmates marque d'un départ dégueulasse

[00:04:01] Qui était là quand j'tombais à part Aïcha ?

[00:04:01] Qui souriait à ma gueule de craps, en c'temps là, AKH n'était pas official

[00:04:01] Affiche ça, fais le savoir

[00:04:01] Comme à ces putes qui ignorent qu'ils sont la grâce à Richard

[00:04:01] Pour nos rêves commums, mon style verse des larmes

[00:04:01] aussi charge un bac de maxis à l'Eden et lis ça

[00:04:01] Les trains portent nos délires, dans c'dédale, superbe caravane

[00:04:01] Dieu sait ou ça ramène, si j'crois les paramètres, apparement ça rame

[00:04:01] Par respect j'mets du vrai dans l'histoire

[00:04:01] Et narre un des plus beaux volets dans l'rap qui sait.

[00:04:01] Refrain